Toute chose étant une combinaison fugitive d'éléments et de forces à la fois contradictoires et complémentaires, les galets expriment cette dualité par la coupure et la couture, opposant leurs intentions et leur directions. Ainsi apparait l'universalité des formes : graine, insecte, croix, visage, sexe…
Au fil des milliers de pierres, l'imaginaire explore la profusion de la nature et, par le tri et la sélection, s'invente compulsivement des repères et des ordres dans l'infini des nombres et des identités.